Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National
Le Front National salue le score historique de son candidat Etienne Bousquet-Cassagne dans la 3e circonscription du Lot-et-Garonne.
Le principal enseignement de cette élection est que le soi-disant « front républicain » est mort. La progression spectaculaire du Front National entre les deux tours montre en effet que l’UMPS n’arrive plus à mobiliser l’électorat pour empêcher le Front National de gagner des suffrages. Il y a quelques années, lorsqu’il parvenait à se qualifier au second tour d’une élection, le FN stagnait en nombre de voix ; dans cette dernière élection, comme lors des élections partielles récentes, renforçant une dynamique déjà perceptible aux législatives de 2012, il est parvenu à doubler ses voix et à engranger plus de 20 points entre les deux tours.
La dynamique du FN se mesure aussi au fait que dans la 3e circonscription du Lot-et-Garonne, seul contre tous les partis coalisés, le FN est passé de 15% en juin 2012 à plus de 46% un an plus tard, quand l’UMPS est passé de 75% à 54%. Cette amélioration extrêmement forte et rapide du score du FN s’est pourtant faite dans une terre radicale-socialiste, électoralement difficile pour notre mouvement.
Jean-Louis Costes doit son élection à la collusion désormais évidente entre le PS, l’UMP et leurs satellites. Ce n’est pas un député UMP qui va entrer à l’Assemblée nationale, mais l’élu d’un parti unique. Il est d’ailleurs piquant de constater que le PS et ses alliés se félicitent ce soir de l’élection d’un député UMP. Voilà une très belle illustration de la parfaite connivence des deux partis siamois quand il s’agit de défendre leurs intérêts électoraux et les postes qui vont avec.
Le Front National voit à travers cette victoire politique une raison supplémentaire d’être très optimiste en vue des futures échéances électorales, à commencer par les municipales et les européennes de l’an prochain. Notre mouvement se sent encouragé à mettre une pression croissante sur un système politique qui commence à prendre l’eau de toutes parts, et à poursuivre son ascension vers le pouvoir, qui sera sans doute plus rapide que ce que l’on pouvait imaginer il y a encore quelques mois.
M. Costes espère avoir l’appui d’un «front républicain». Il a reçu en effet le soutien de M. Barral, et le député Matthias Fekl, no 1 du PS dans le Lot-et-Garonne, a appelé sans «aucune ambiguïté» à «faire barrage au Front national», qui «n’est pas un parti comme les autres».
en quoi le front national n est il pas un parti « comme les autres »?
lorsque l on dit cela, il ne faut pas se mentir, on sous entend nationaliste, raciste ,xenophobe et d extreme droite
-le fn est un parti nationaliste, c est a dire qu il fait passer ses nationaux avant les etrangers de son pays (arretez moi si je dis une connerie! mais c est partout pareil dans le monde!)
-ce n est pas un parti raciste, il n y a aucune theorie raciale dans nos programmes ni de l homme superieur (contrairement a l ideal international ouvrier socialiste qui place l ouvrier en haut d une nomenclature (lutte des classes), le paysan, l intellectuel et le bourgeois etant des classes inferieurs; voila une theorie « raciale » basee sur la classe sociale)
-le front n est pas xenophobe, la xenophobie, c est la haine des etrangers, sous entendue sans raison particuliere (personnellemnt, j en veux enormement a tous les etrangers qui ne respectent pas nos lois, nos valeurs, qui veulent m imposer les leurs, mais lorsque leur attitude change, la mienne aussi et je ne les rejette plus, je ne suis donc pas xenophobe!)(je n aime pas que l on me tape sur la tete, c est tout!)
-enfin, il n’y a pas de parti ni d extreme gauche ni d extreme droite en France puisque tous respectent la democratie, les lois et aucun ne veut imposer des choses sans passer par les lois
en fait, le fn est simplement un parti qui defend les intérêts de son pays, le drame n est pas que nous soyons comme nous sommes, le drame c est que les autres n aient pas le meme objectif que nous!